De mon temps
De mon temps, de mon temps, de mon temps, de mon temps (désolée, je ne vois pas comment le présenter autrement) donc, dans mon jeune temps des années 60, la sémantique ne connaissait pas le politiquement correct. On taillait dans le vif, on allait à l’évidence et on appelait un chat, « un chat ». On disait, –…
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