La famille, la famille, la famille…
Oublier ses ancêtres, c’est être un ruisseau sans source, un arbre sans racine.
Dans une famille on a beau avoir vécu les mêmes choses, on n’a pas les mêmes souvenirs.
Si jeune que l’on soit, le jour où l’on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.
Un homme a besoin d’une famille autant qu’il a besoin d’air
La famille ça se porte sur le dos du matin au soir de sa vie
Dans certaines familles, on est délinquant de père en fils. Quand un garçon vient au monde, la grand-mère se met aussitôt à lui tricoter des menottes.
La famille c’est comme un arbre généalogique, il y a toujours une branche qui fait des nœuds.
La famille c’est comme un bon vin, elle se bonifie avec le temps… ou pas.
La famille c’est comme une équipe de foot, on ne choisit pas toujours les joueurs.
La famille c’est comme un ascenseur, il y a des hauts et des bas.
Une réponse
Ce qui me plaît c’est la référence à peine voilée à Jo Dalton! (voir les menottes), « Famille, je vous hais! » Oxymore ou vérité exprimée par A. Gide? Famille, je vous ai. Comme l’écrivait Bazin, possession ou obsession? A voir.