Bien faire et laisser braire
Le monde est très grand, le monde est très petit ce qui est sûr c’est qu’on en sortira tous, on en sera viré bon gré ou malgré nous. Le monde est vieux comme le monde il n’a aucune concurrence dans ce domaine. Lorsque nous nous pervertissons par convenance à vouloir être « dans la norme », à ne pas faire vibrer les étincelles qui crépitent en nous, nous commettons le plus grand des pêchés et nous donnons trop de pouvoir à ces gens qui nous entourent et sur la façon dont ils nous considèrent. Nous devons nous tourner vers l’intérieur de nous-mêmes et comprendre ce que nous voulons valoriser de notre être interne, ce qui nous rend heureux, ce qui nous rend dignes et ne pas le mesurer aux autres, seulement à qui nous étions hier et qui nous voulons être aujourd’hui.
Grouillons-nous parce qu’en plus de ça, le monde va très, très vite, je vous le dis, moi.
Une réponse
Trop vite quand je jette un regard sur le passé récent. L’accélérateur céleste… Mais vous avez raison, chère Dame, il faut tirer de notre être, se forcer à le faire, tout ce qui nous fait du bien. Pas forcément dans la légèreté, dans la consommation immédiate, mais tout ceci est vraiment complexe et mériterait d’être affiné. Qui sommes-nous? Oui, une première question. Il y en a beaucoup d’autres derrière. Qu’as-tu fait de ta vie? Celle-là est bien angoissante. Bref, laissons faire!