Les mots, les mots

Non ! Ça n’est pas vrai, je ne donne pas dans  le vulgaire ni dans le  vulgum pecus, il faudrait avoir l’esprit mal tourné pour croire cela. Tourné vers quoi ou qui du reste je me pose la question puisqu’à  à l’heure actuelle on ne sait plus trop qui est le qui ou le quoi du  quoi ou du qui pas plus que  le où ou le comment. Ouf, je m’en suis bien sortie maintenant c’est clair. Tout passe-crème à grandes lichettes de 49-3 mais je ne me mêle pas de ça étant donné que je n’y connais rien en politique hormis la politique de mon panier qui a augmenté de 30 %, des manifestations qui m’annulent un rendez-vous médical pris depuis 6 mois et des grands discours de nos minables dirigeants qui menacent la paix dans mon monde.

Mon  nycthémère à moi, désigne l’alternance du jour et de la nuit sur une période de 24 heures. Pendant ce cycle nycthéméral, l’état de veille  et de sommeil  se succèdent selon un rythme dit circadien. Chez l’être humain, cette alternance est d’environ deux tiers de veille pour un tiers de sommeil. L’homme étant une espèce diurne, le sommeil intervient physiologiquement la nuit.

En fait, l’homme est une espèce d’espèce, pas rare du tout mais menacée d’extinction il n’y a pas des kilomètres.